13 mars 2010

Ma maison que j'aime

Sur les traces de Trauma, retour dans le temps pour la petite histoire...


La première fois qu'on a visité ce qui devait devenir notre maison, je n'ai eu aucun intérêt. Pas de coup de coeur, rien de plus qu'un simple bof..
Martin a insisté. "Retourne avec Marie-Josée (notre agente immobilière)" qu'il me disait. "Essaie de la voir d'un autre oeil."

Et Marie-Josée d'en rajouter. "C'est vrai que maintenant, c'est laid! (pour confirmation, revoir image ci-contre!) Mais imagine sans le mur, imagine sans la céramique, avec un beau plancher de bois, imagine avec tes couleurs, tes meubles..." (D'aucuns pourrait ici ajouter: "Imagine la facture" mais on n'en était pas là encore!)

Et à force d'imagination, on a fini par se dire que oui, ce serait une bonne idée, une maison que l'on qualifiait alors de compromis (comme dans "pas ce qu'on cherchait, mais on n'a pas les moyens de ce qu'on cherche!"), parfaite pour recevoir, s'amuser et faire des bébés en attendant d'avoir les moyens de ce que l'on cherchait.
Évidemment, depuis, nos sentiments envers ces quelques murs ont évolué. Les rénos ont effectivement changé du tout au tout le coup d'oeil, la maison nous ressemble de plus en plus (malgré tous ses défauts... ou plutôt à cause de tous ses défauts??). On l'aime vraiment. Mais c'est ce soir que j'ai eu la certitude hors de tout doute qu'on avait fait le bon choix!
Un souper avec les amis du secondaire de Martin: 8 adultes (ou devrait-on dire 9?), 3 enfants, du bruit partout, les petits qui courent et qui s'amusent... Bon, faudra peut-être agrandir la table éventuellement, mais sinon, c'est quoi si c'est pas le bonheur, ça?
Un petit drink "entre gars"
Nicolas et Geneviève discutent cuisine pendant les gars passent aux choses sérieuses dans la cuisine.
Petit craquant, va!

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