29 mars 2010

Benoît Brunet, pu capable

Qu'il ne sache pas aligner 4 mots sans faire d'erreur, ça énerve, mais c'est un joueur de hockey, pas un prix Nobel de littérature. Les si aiment les rait, c'est comme ça!
Qu'il ne puisse pas dire autre chose que "J'aime ce que je vois, Pierre", "J'ai pas de problème avec ça, Pierre", ou "C'est sûr et certain", ça agace, mais encore là, il y a des limites à la variété quand on analyse au moins 84 matchs dans l'année!
Mais là où il me fait sortir de mes gongs, c'est quand il n'est même pas assez brillant pour réaliser que ses commentaires ont une portée qui dépasse sa petite personne. Quand il commente une mise en échec sauvage avec un joueur à demi-conscient sur la glace en disant: "C'est une bonne mise en échec, ça!" C'est quand, devant un Plekanec qui varge sur les mains de son adversaire avec son bâton parce que Canadien joue à 3 contre 5 et que l'arbitre n'osera pas donner une autre punition, la Lumière à Brunet commente: "C'est de bonne guerre!"
Il est pas capable de comprendre par lui-même qu'il y a des petits garçons qui écoutent ses supposées "analyses d'experts" les oreilles toutes grandes et qui se disent que si Benoît l'a dit, ça doit être vrai, et que c'est ce qu'il faut faire pour accéder à la Ligue Nationale.
Personnellement, ça m'écoeure!

3 commentaires:

Anonyme a dit...

Tu as vu le site benoitbrunet.com finalement????
Karen

Cindy a dit...

oh non, j'ai complètement oublié ça! J'y vais!

Cindy a dit...

ah, effectivement, très éloquent!