Nouvelle vague

Ma deuxième semaine de vacances, à la maison, s'est soldée hier soir par un souper copieux chez Katia, alias "ma Couzzzz" et François, alias "Monsieur". Alors que les garçons jouaient avec leur musique, leurs films et autres Mario Bros, j'ai pu confirmer ce que je savais déjà: ma couzzz est une véritable artiste photographe!!! Les photos des Îles-de-la-Madeleine sont dignes du National Geographic, comme vous pourrez le constater vous-mêmes bientôt.

Mais le véritable clou de la soirée, outre la bavette et ses pâtissons délicieux, a sans contredit été la collection quasi-inépuisable de succès rétro québécois du iTunes du joyeux couple! Dans l'indifférence totale de François et Martin, nous nous sommes amusées comme des petites folles à chanter et danser sur les succès des Classels, de Richard Anthony (qui a inspiré le titre de cet écrit, si vous ne l'aviez pas reconnu...) et autres Sultans qui ont si bien bercé notre enfance... Mon respect éternel à celui ou celle (autre que ma couz!) qui saura identifer cet extrait de chanson qui me trotte dans la tête depuis ce matin après être sortie intacte d'un tiroir bien caché de ma mémoire hier soir. Remarquez le texte très nuancé, probablement inspiré du centre-ville de Montréal ou du Plateau Mont-Royal:

"Si j'ai bien compté ça fait 40 jours
Que j'ai pris ma voiture pour aller faire un tour
À peine avais-je laissé ma place le long du trottoir
Que 12 hommes en colère se bagarraient pour l'avoir!
Les plus gros avions se posent quelque part
Les trains les plus longs s'arrêtent dans une gare
Mais moi je suis condamné à rouler sans m'arrêter
Je ne trouve pas une place pour me garer!"

Pendant que Cindy et Katia faisaient des folles d'elles en chantant à écornifler les boeufs (comme dirait Jean Perron), Martin et François sont sagement passés au bureau pour s'informer sur Internet comment venir en aide à Médecins sans frontières.